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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 13:58

 

 

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 Course au départ de Lanslebourg

 

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         Pour paraphraser Véronique Jeannot dans sa publicité pour une margarine anti cholestérol dont elle dit à ce sujet lui être fidèle depuis 25 ans, moi c’est au fromage de Beaufort et à la Vanoise qu’en la circonstance va ma loyauté et depuis plus longtemps encore !  

 

 

                                 Devant le centre international de séjours

 

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C’est en 1985, à l’occasion d’une classe de neige organisée par l’un des C.E.2 d’une école de Morières dans laquelle mon fils était élève que j’ai découvert le Parc du même nom. Je participais en qualité d’accompagnateur à l’encadrement d’un groupe d’enfants. Nous logions au centre international de séjour de Lanslebourg dont le directeur, monsieur Bernard Jorcin, était également le maire du village.

 Grand personnage qu’il m’a été permis de côtoyer à la fois dans le cadre de ses fonctions, mais également dans sa connaissance de la marche sur glacier sur lesquels il m’a plusieurs fois guidé. Grand humaniste par sa générosité à accueillir des jeunes en panne d’avenir, des jeunes en difficulté d’insertion. Intégrés au sein des équipes de cette grande maison, encadrés par un personnel solide et porteur du projet de leur patron, qui à la cuisine, et pour d’autres à l’entretien, la plupart d’entre eux retrouveront dans ce cadre l’estime d’eux-mêmes et la reconnaissance de ceux qui leur ont fait confiance. Depuis ce temps, certains sont devenus des employés titulaires de l’établissement alors que d’autres travaillent sur la station de ski de Val-Cenis-Lanslevillard exerçant à des postes divers. Au fil des années, je revois ces jeunes dont certains ont fondé ici leur foyer et que j’ai vu arriver un peu comme des pèlerins en quête d’un lieu où faire le point à propos de leurs interrogations. Je dirais plutôt de leur errance pour ce qui les concernaient. Ils venaient de loin pour la plupart, alors que d'autres semblaient arriver de nulle part, tellement ils étaient perdus dans leur vie.

 

L’année suivante, après la classe de neige et pour mon grand plaisir, je fus sollicité pour celle dite de découverte. Le projet des enseignants se déroulant au printemps, c’est dans une nouvelle aventure et dans une configuration de terrain en prise avec la faune et la flore de la région que la Vanoise se présente alors à moi par ses chemins de randonnées. Autres situations, autres rencontres. C’est à ce titre que vingt cinq années durant j’ai accompagné des écoliers sur les pistes de ski, les randonnées en montagne et à l’occasion d’un voyage hors de nos frontières.

 

 

                             Du c.i.s.de Lanslebourg La Dent Parachée

 

  Vu du C.I.S : Le glacier de la Dent Parrachée au lever du jour. 

 

Pour ce qui est de la montagne, je l’ai découverte en 1959. Je parle là de la grande, de celle des neiges qui se veulent éternelles que j’ai foulée lors d’une année passée comme infirmier militaire dans un établissement hospitalier situé en bas de la Grande Gargouille à Briançon.

Avant cela, mon expérience de ce milieu se limitait aux souvenirs liés à mon passé de garçon vacher sur les plateaux ardéchois. Souvenirs de jeunesse où durant les grandes vacances d’été, à la fin de la seconde guerre mondiale, je partais en estive pour y vivre au grand air et bénéficier d’une nourriture généreuse. Si les environs du Tanargue, de La Croix de Bauzon du Lac d’Issarles n’avaient pas de secret pour moi, je ne connaissais rien de ce que représente le monde de l’altitude, des torrents, de la faune et de la flore qui font la spécificité de ces hauts lieux.

 

                              Le Parc de la Vanoise ( Sommaire )

 

                Crée en 1963. Il s’agit d’un parc national. Il se situe entre la haute vallée de l’Isère, celle de la Tarentaise au nord, celle de l’Arc et enfin la vallée de la Maurienne au sud. En résumé, il couvre une partie de la région savoyarde. Il jouxte celui du Grand Paradis sur une longueur de notre frontière avec l’Italie. Les deux parcs sont jumelés depuis 1972. Leurs superficies réunies présentent la plus grande étendue protégée d’Europe occidentale. 

 

                                Bouquetins mâles

 

                              Troupeaux de bouquetins mâles

 

A l’origine de ces deux parcs se trouve le roi d’Italie Victor-Emmanuel II qui avait pris conscience du risque de voir s’éteindre les Bouquetins des Alpes. Traqués à outrance pour leur chair, mais surtout pour des croyances à propos de propriétés dites guérisseuses de certains de leurs organes, le bouquetin, animal qui ne craint pas l’homme, s’est vu décimé dès l’arrivée des armes à feu utilisées pour la chasse. Un cartilage en forme de croix se trouvant dans sa région thoracique était alors particulièrement prisé !!!. 

Le massif de la Vanoise compte 107 sommets à plus de 3000 mètres d’altitude dont le point culminant est la pointe de la Grande Casse à 3855 mètres.

      Informations retenues de la transmission orale et de ma recherche sur le Net

 

Au fil des récits que je compte vous proposer, je vous relaterai quelques unes de mes randonnées et de mes poses de crampons afin de vous parler des nombreux glaciers qui sont le fleuron de ce site prestigieux et dont, pour certains, j’en ai foulé la surface.

Le Parc est riche d’une flore et d’une faune qui sont exceptionnelles.

 

                                                 Renoncule des glaciers.                                         

                                                                                                                                                                                        Renoncule des Glaciers.

 

                                           __________________________

 

 

                           Notre premier séjour en famille

 

 

                Lanslebourg  fin juin 1986. Notre fils avait dix ans, sa sœur, plus âgée, avait décidé pour elle d’une autre destination.

Le village reconstruit à la fin de la seconde guerre a rangé ses maisons le long de la route qui monte de Modane en longeant le cours de l’Arc jusqu’à Bonneval. Cette dernière continue pour s’échapper ensuite par le col de l’Iseran et descendre sur Val D’Isère.

Il reste, en montant sur sa gauche, retirées à flan de montagne, quelques demeures anciennes que les armées allemandes et italiennes n’ont pas réussies à brûler avant de se retirer suite à leur retraite forcée. Assise au pied du col du Montcenis, la commune a, coté italien, pour grande sœur la ville de Suse.

 

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Le centre de vacances est au pied des remontées mécaniques du Pont des Chèvres, équipements permettant de rallier en hiver la station de Val-Cenis. Il s’agit d’un lieu familial important. Sa capacité d’accueil avoisine les trois cents lits, mais l’organisation de la maison est ainsi établie que l’ambiance qui y règne n’a rien à voir avec le chahut des grandes structures que l’on peut parfois rencontrer ailleurs. Sa situation géographique le place idéalement pour de superbes randonnées dont, pour certaines, le départ peut s’atteindre en quelques pas.

Les équipes du complexe comprennent en leur sein des accompagnateurs de moyenne montagne qui encadrent des randonnées sur la journée. Il s’agit là d’un forfait à la semaine que l’on est libre de prendre ou pas. Les groupes et le choix des circuits sont établis et retenus en fonction des désirs exprimés et de la capacité physique de chacun à pouvoir en assumer la difficulté. Chaque accompagnateur part avec une dizaine de clients maximum.

Cette première année c’est le choix que nous fîmes. A la fois par facilité et pour plus de confort, un véhicule nous amenant au départ, puis venant nous reprendre quand le circuit ne se faisait pas en boucle. L’autre raison se résume à la capacité qu’on les enfants à se faire des camarades. Dés notre arrivée, notre fils se trouva un copain parmi les vacanciers et dont les parents, néophytes en montagne, n’envisageaient pas de partir non accompagnés.

Les deux garçons s’entendaient comme larrons en foire et nous, parents, allions dans le sens de leur choix qu’ils faisaient de la randonnée pour le lendemain. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans différents groupes et avec, parfois, un accompagnateur que nous découvrions.

 

C’était la toute première fois en quelque sorte où nous partions à l’aventure. Aventure au sens où nous n’allions pas rejoindre des membres de la famille ou un groupe d’amis pour un séjour à la mer comme c’était généralement le cas auparavant. La nouveauté pour nous a été de voir notre fils évoluer dans un milieu qu’il découvrait. Quel bonheur que de sentir son enfant émerveillé, curieux de tout ce qu’il remarque. De le voir, avec sa naïveté juvénile courir après les marmottes qui se jouaient de lui. Sur le sentier du refuge des Evettes, la vue du glacier dont la base paraissait pouvoir se toucher du doigt le stoppa d’admiration. 

 

                                          Marmotte !

 

                              VANOISE 2007 - DIAPO ANNIE 117

 

                  Pour la petite histoire, que peut être je vous raconterai, c’est au départ du même refuge, deux ou trois ans plus tard, toujours avec le même copain et accompagné par Bernard Jorcin, que les jeunes ont fait leur premier glacier . Pour l’anecdote encore, plus de vingt ans après et n’ayant plus depuis des années eu d’échange, ils se sont à nouveau rencontrés par hasard dans ce même lieu où ils s’étaient connus enfants.

  

Chaque jour nous entrainait vers de nouveaux horizons, vers de nouvelles rencontres avec une nature propre à la haute montagne. Je vous invite pour cette première visite du parc, et pour l’avoir déjà évoquée, de partir avec nous en randonnée vers les Evettes, son refuge, son cirque glacière.  

  

                                  Le refuge des Evettes : 2590 mètres 

 

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Pour toutes les randonnées que nous avons faites cette semaine là, un véhicule du centre nous à conduit sur le lieu de départ puis est venu nous reprendre au terme de notre excursion. Aujourd’hui, c’est sur le parking de l’Ecot que nous sommes déposés

 

                         . L'Echo

 

Il y a là un hameau qui attend chaque été ses habitants qui l’ont abandonné à un hiver trop rude. La chapelle et les quelques maisons qui en constituent l’ensemble s’accrochent de façon obstinée aux pentes de l’Iseran. Elles luttent courageusement depuis des siècles contre les vents violents et font face aux déluges d’eau et de neige qui sont le lot commun de l’endroit lors de la mauvaise saison. Situé au dessus de Bonneval sur Arc, il est le dernier lieu d’humanité avant d’entrer dans le domaine des marmottes, des bouquetins, du lagopède ou perdrix blanche, du lièvre variable..... et autres fleurs et animaux divers.... .

 

 

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Montée au refuge par des militaires. Au fond: le hameau de l'Ecot 

 

Pour cette première et en raison d’un reliquat de neige trop important au dessus de la cascade de la Reculaz, l’itinéraire emprunté sera celui qui s’en va sur la droite après avoir sauté le ruisseau de la Picherse.

 

De toutes parts de la montagne de l’eau dégringole en cascades plus où moins bruyantes en fonction de leur débit. La rosée du matin fait briller de mille couleurs un parterre de fleurs plus belles les unes que les autres. Les trolles, ces boutons d’or à la corolle globulaire, tapissent d’un jaune citron de grands espaces herbeux.

 

 

                                  Trolles. VANOISE

 

                                  Les trolles

 

Il est encore de bonne heure, le besoin d’en découdre avec la dénivelée s’impose au risque de se laisser engourdir par le froid et pourtant nous sommes en plein mois de juillet. Au dessus de 2000 mètres, l’air frisquet réveille les esprits et les cœurs que l’altitude fait battre plus fort. Les yeux n’ont de cesse de vouloir s’arrêter sur mille choses à regarder. A présent le sol est recouvert de rhododendrons, de campanules et de violettes aux teintes variées selon leur espèce et leur exposition au soleil. Sur les espaces plus découverts, les gentianes printanières, discrètes, ont trouvé refuge à l’abri des rochers. Celles de koch à la fleur plus importante, semblable un peu à celle du gloxinia, complètent une palette de bleus à faire palir les peintres d'envie d'en pouvoir en restituer fidélement la couleur. 

 

 

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                                Gentiane de koch

 

La montagne résonne du sifflement des marmottes, du bruit de l’eau et du chant de toutes sortes d’oiseaux dont la plupart me sont inconnus. Du fond des petits ruisseaux que la lumière du matin arrose de sa fine lumière, de petits cailloux renvoient des brillances allant de l’argenté à des verts émeraudes qui font la joie des enfants au point d’en remplir leurs poches. François, notre guide est assailli de leurs questions à propos d’une multitude d’interrogations. Il prend le temps de leur répondre avec le ton du pédagogue rodé à l’exercice de leur impatience.                             

Cinquante minutes d’un pas raisonnable nous conduisent à un replat à partir duquel il nous est proposé le choix entre deux sentiers. Une pause nous permet une petite restauration et le temps de la réflexion pour se déterminer quant au chemin à prendre. Ce sera celui qui monte vers le Plan des Roches, plus long, mais moins raide que l’autre. Nous partons pour une grande boucle afin de contourner un aplomb, avec le sentiment d’être à contre sens de l’objectif visé. Nous rencontrons de gros névés à partir de 2400 mètres. Cette neige au sol présente en plein été surprend notre fils qui n’osait croire à cette rencontre pourtant annoncée. C’est avec un bonheur qu’il exprime sans retenue qu’il va et vient dans la file pour nous montrer son adresse à négocier le terrain. 

Après ce qui se présentait comme une traversée en oblique, à présent le sentier, pentu, monte droit vers ce que l’on devine déjà comme étant le cirque glacière.                                                         

Le soleil qui brille de tous ses rayons nous permet de marcher en tenue estivale. C’est le contraste du climat de haute montagne où il faut avoir avec soi de quoi passer d’une saison à l’autre en quelques minutes parfois.

 

                                        Le pont de pierres de la Reculaz

 

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Le passage au refuge des Evettes est court. Le pique-nique est prévu au pied du petit pont de pierres sous lequel passe l’eau de dégel du glacier qui alimente la cascade de la Recula.  

Le spectacle est grandiose, le regard s’ouvre à présent sur un immense monde minéral, d’eau, de neige et de glace. Moment exceptionnel où sous l’effet du chaud soleil d’altitude, il est possible d’entendre d’où nous nous trouvons, les craquements du glacier qui bouge. 

Après le repas, tout en restant prudent, une partie du groupe n’a pas pu résister à l’appel d’une visite rapprochée du premier sérac. Il nous paraissait être à portée de main et pourtant il nous fallut une bonne heure de marche pour apprécier la hauteur de la falaise de glace qui se dresse là comme un défi. Tout un nuancier de vert et de bleu en teinte par endroit la transparence d’une manière surréaliste. Cette masse compacte qui représente en fait la queue du glacier, arrive là au terme d’une glissade qui a pu durer des décennies, des siècles peut être pour être réduite puis fondue par la chaleur de l’été. La neige, encore abondante l’hiver dans cette partie de la Vanoise alimentera à nouveau l’épaisseur du manteau d’un phénomène qui se perpétue depuis la nuit des temps. Ainsi va la vie des glaciers sauf si, comme cela est prédit par les météorologues, le changement climatique en décide autrement.

 

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A ce stade de grandeur, d’éclats, notre fils découvrait à l’occasion de nos randonnées la magie, la divination qui habitent la montagne. Il en reste à ce jour un passionné et ne rate pas l’occasion de retourner sur les lieux de ses premiers pas, où plus jeune nous avons ensemble arpenté les plus beaux circuits qui soient donnés de faire à la ronde de Lanslebourg et de sa région.

La montagne vous gagne comme le dit un slogan publicitaire en vogue aujourd’hui. Pour ma part, j’ai conscience d’avoir beaucoup appris en la pratiquant.

Je sais qu'il est banal de redire combien la montagne est belle, mais je crois bon de le rappeler pour que nous gardions en conscience l’importance qu’elle représente pour l’homme. Je crois en effet bon de souligner, entre autres réserves, sa capacité a pouvoir stocker dans ses glaciers les milliards de mètres cubes d’eau douce dont la planète est dépendante.

  

           Près du sérac. A remarquer l'effondrement de l'un de ses flancs

 

 

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La montagne nous offre un terrain de jeux aux activités multiples. Elle est diverse et variée tant au plan de sa faune que de sa flore. Elle est source d’évasion. Elle est cette immense propriété, ce grand jardin où il fait bon s’ébattre. Elle est une terre de prédilection pour y cultiver les fruits de la découverte, de la volonté, de la connaissance et de la modestie. Accueillante mais pouvant être hostile, elle est cet ensemble dont il faut savoir tenir compte pour que notre cohabitation avec elle reste une rencontre heureuse.                                                                                           

  

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commentaires

T
<br /> BONJOUR FRANCIS,<br /> Toutes les années, pour une semaine au moins, josyane et moi partons en montagne pour retrouver l'ambiance que génére le groupe. La Savoie et la Vanoise en particulier sont nos destinations<br /> favorites. Pour ce qui est des bouquetins, j'espère pouvoir remettre la main sur une photo que j'ai prise à l'époque au dessus du refuge de La Font d'Aussois avec un petit olympus sans zom, et qui<br /> montre Rémi à la limite de toucher un gros mâle qui se prélasse sur un rocher. Souvenir sans précédent dans ce domaine.<br /> Marcel<br /> <br /> <br />
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F
<br /> Bel hommage aux vacances collectives et au personnel qualifié. C'est exactement là, peut-être dans ce même village vacances que j'ai découvert la montagne en 1972 je crois avec mes parents et ma<br /> petite soeur. A cette époque la faune sauvage était encore rare et farouche, on entendait des marmottes qu'il était assez rare de pouvoir approcher, quant aux bouquetins, inpensable d'en admirer<br /> les cornes. Première nuit en refuge, apprentissage du pas lent du marcheur en montagne... que de bonheurs. Quelques années plus tard j'ai rencontré Marie Claire là-bas, il y a peu j'ai présenté les<br /> bouquetins et les chamois à mes fils sur la limite du Gran Paradisio...<br /> <br /> <br />
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T
<br /> BONJOUR MARTINE ET JOËL,<br /> <br /> Le plaisir du partage peut effectivement se trouver entre celui que je prends en écrivant et celui que manifestement vous avez à me lire. Il n'y a pas de nostalgie dans le retour vers ce temps qui<br /> accompagnait nos enfants dans leurs apprentissages, car les souvenirs heureux que Josyane et moi en gardons sont notre richesse pour les parents que nous sommes.<br /> <br /> Bien amicalement.<br /> Marcel<br /> <br /> <br />
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G
<br /> Que du bonheur de vous lire .Toutes les images sont magnifiques et nous reconnaissons REMY ,il y aquelques annees. Un grand MERCI pour vos commentaires .AMITIES<br /> Martine et Joel<br /> <br /> <br />
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T
<br /> Bonsoir jackie,<br /> <br /> Je constate votre fidélité à me lire et j'en suis toujours flatté. Il est vrai que la montagne m'a beaucoup apporté tant au plan sportif qu'à celui de la connaissance. Je garde comme plus beaux<br /> souvenirs les images de Rémi découvrant tout ce que ce mileu peut offrir à la curiosité d'un enfant. Il était client de tout ce que nous lui proposions. Son enthousiasme faisait notre fierté.<br /> D'ailleurs, il a gardé en lui cette joie qu'il communique dès qu'il entre dans un nouveau domaine de découvertes. Il a commencé le golf depuis un an et, sans jamais l'avoir pratiqué, j'en connais<br /> déjà l'essentiel de sa technique....<br /> Merci encore de me lire, et si vous connaissez des personnes que je peux intéresser par mes récits, donnez leur mon adresse.<br /> Je vous embrasse.<br /> Marcel<br /> <br /> <br />
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